Avocat pour les
violences conjugales
Physiques, morales, sexuelles… Les violences conjugales prennent toutes sortes de formes, et il aussi important que nécessaire pour les victimes de demander de l’aide avant que la situation ne se dégrade. En plus de défendre vos droits et de vous représenter devant les juridictions, le cabinet Moeyaert & LeglaunecAvocat s’engage à vous soutenir et à vous accompagner dans chaque démarche pour lutter contre la violence domestique, la violence conjugale et les agressions sexuelles. Nous intervenons dans tous les domaines du droit de la famille, notamment pour régler tout ce qui concerne le divorce ou la question de la succession, dans nos cabinets de Sainte-Maxime et de Peymeinade.
Pourquoi faire appel à un avocat
en cas de violences conjugales ?
Si les violences au sein d’un couple peuvent toucher les femmes et les hommes, les femmes victimes de violences conjugales se comptent par centaines de milliers chaque année en France. Malgré les campagnes de sensibilisation, de prévention et de lutte contre les violences, les victimes ont encore du mal à en parler autour d’elles et à demander de l’aide, même en cas de grave danger. Il est pourtant extrêmement important de ne pas laisser une telle situation empirer. L’avocat vient en aide aux victimes et leur permet d’être conseillées comme il se doit sur toutes les solutions qui se présentent à elles. En cas de procédure, il est à leurs côtés pour les défendre et les représenter devant le Juge aux affaires familiales.
L’ordonnance
de protection
L’ordonnance de protection peut être demandée pour toutes les violences subies dans un couple. Il peut être question de violences physiques, de violences psychologiques comme les menaces ou le harcèlement, mais aussi de violences sexuelles, qui comprennent les agressions et le viol, ainsi que de violences économiques. Cette ordonnance prévoit des mesures pour une durée de six mois maximum, et vise à protéger les femmes victimes de violences au sein du couple. Elle agit notamment en interdisant au conjoint agresseur d’entrer en contact avec la victime, en assurant la résidence séparée aux deux membres du couple, mais aussi en statuant sur la question de la garde parentale.